« Sans contact »

Déconfiné, peut-être, mais avec la hantise de croiser l’autre, le passant, celui qui peut devenir instantanément mon ennemi parce qu’il va m’infecter. L’autre est là, visible, devenu menaçant. Hier, finalement caché par mon confinement, il était moins dangereux, chacun était dans sa bulle. Tout a basculé. Et l’on retrouve les masques, qui ont furieusement manqué.